Sandrine Notreami, massage intuitif, magnétisme et reboutement à Bègles (33130)

L'être humain a besoin de contact, a besoin de toucher et d'être touché pour se développer et grandir.

Nous vivons d'abord dans et par le corps !

Ce corps qui s'affiche aujourd'hui sous tous les angles dans les magazines et les publicités, sur les réseaux sociaux, n'occupe pas en réalité la place qu'il mérite. Nous utilisons notre corps bien plus que nous le respectons et que nous l'aimons. Rien d'étonnant donc à ce que notre corps se révolte, qu'il nous fasse souffrir d'être ainsi manipulé et souvent maltraité.

Notre corps est notre réalité première, c'est par lui que nous faisons l'expérience du monde qui nous entoure. Nous vivons d'abord dans et par le corps. Dans tous les domaines de notre vie, il est présent au travers de ce que nous percevons, éprouvons et ressentons. Notre état corporel influence directement notre humeur, notre capacité à agir, notre vision des évènements mais aussi nos relations humaines. Il conditionne beaucoup plus que nous acceptons de le croire notre manière d'être, quelles que soient les raisons logiques et les explications rationnelles que nous pouvons donner.  

Et pourtant ce n'est pas ce que l'on nous a enseigné, loin de là. L'éducation privilégie depuis des générations les fonctions intellectuelles et le langage verbal au détriment du développement sensoriel, de l'expression corporelle, du ressenti et de la créativité. Le corps nous ouvre la porte du monde des sensations, des impressions, du ressenti, de la chaleur humaine qui contrebalance l'univers froid de la logique cartésienne.

Notre corps traduit la vérité du moment, il résonne à chaque situation, à chaque rencontre et nous enseigne sur ce que nous éprouvons dans l'instant. Il importe de réapprendre à l'écouter pour retrouver notre équilibre intérieur, de réapprendre à l'investir pour nous réconcilier avec nous-mêmes et avec les autres.

Le toucher nous réapprend d'abord à redonner au corps tout le respect, toute la sollicitude qui lui sont dus.